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« L’interprétation par Sébastien Daucé et l’ensemble Correspondances du Requiem de Campra, œuvre majeure du baroque français, met magnifiquement en valeur les mélodies et le sens de la direction de la musique. » – Gramophone

« Sans conteste le meilleur ambassadeur de la musique de Charpentier du moment » – Le Figaro

« Un ensemble Correspondances en grande forme déverse les flots d’une matière sonore raffinée, aux lignes tenues qui magnifient les moments recueillis ou tristes de la partition. » – Diapason
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« Une production d’une élégance et d’une pertinence rares, une distribution de premier ordre et une direction musicale raffinée offrent à l’opéra de Francesco Cavalli les conditions idéales d’une redécouverte. Un des moments forts du Festival international d’art lyrique d’Aix-en-Provence 2025. » – Les Échos

« Pour que la musique ne s’y évapore pas, Sébastien Daucé a fait ce que faisaient les compositeurs à l’époque : il l’a réorchestrée pour 33 musiciens, dont 10 violons, 2 cornets et 3 sacqueboutes, l’ancêtre du trombone. Cela aurait pu être lourd, mais le chef a une telle élégance musicale et une telle expertise du répertoire que cette opulence instrumentale emplit l’espace sans le saturer. » – Le Figaro

« Dans une reconstitution généreuse destinée au plein air aixois, Sébastien Daucé dirige La Calisto de Francesco Cavalli. Sensuelle et raffinée, la musique se glisse dans un écrin scénique lisible. » – La Croix

« Superbe adaptation de l’opéra vénitien de Francesco Cavalli par le chef Sébastien Daucé, qui transpose avec malice l’histoire à l’époque des Liaisons dangereuses. » – Télérama

« Sous la direction vive et souple de Sébastien Daucé, attentive à la moindre inflexion, l’Ensemble Correspondances a fait tout simplement des merveilles. » – Le Monde

« La meilleure production a été la dernière à ouvrir le festival. Une soirée d’opéra sans faille, avec une excellente distribution de dix personnes et un jeu animé dans la fosse par l’Ensemble Correspondances et Sébastien Daucé. » – The New York Times

« Plus qu’une restauration c’est une recomposition qui a été pratiquée par le directeur musical de l’Ensemble Correspondances dont les nuances, la rigueur, les couleurs à tous les pupitres magnifient pendant près de trois heures l’un des fleurons de l’opéra vénitien, sous une direction élégante et sensible. » – Concert Classic
« Une Calisto à couper le souffle et délicieusement audacieuse. » – Financial Times
« Sébastien Daucé est à la baguette de l’Ensemble Correspondances, et pour cette production, il a retravaillé la partition, un peu à la manière de Cavalli, passant de 6 à 30 musiciens, ce qui donne un souffle nouveau à ce petit joyau du baroque italien. » – France Inter

« On n’écoute peut-être pas la musique du XVIIe siècle en Suède tous les matins et on a peut-être tort, c’est ce qu’on se dit une fois qu’on a fini la dernière plage du disque, car les interprètes sont formidables. Ce son de l’ensemble Correspondance n’appartient qu’à Sébastien Daucé, on passe du rire aux larmes, et même s’il y a plus de larmes de tristesse et de mélancolie que de rire, elles nous font tellement de bien, car quand la musique est belle et triste et bien elle est très bienfaisante ! » – France Culture

« Quand des artistes complices conjuguent leur immense talent pour révéler au public des pépites de la musique baroque, cela donne Northern Light, un enregistrement qui invite autant à la joie qu’à une bienfaisante mélancolie. » – La Croix

« Le timbre unique, charbonneux, et la diction soignée de Lucile Richardot portent haut l’obscure clarté de ces prières, de cette « lumière du Nord», soutenues par les sonorités veloutées de l’Ensemble Correspondances. » – Les Échos

« C’est en Suède, à la cour du roi Charles XI, au 17ème siècle, que nous entrainent Lucile Richardot et Sébastien Daucé avec l’ensemble Correspondances. « Northern light », ainsi s’intitule leur sublime album réunissant des pièces d’une grande force expressive voire contemplative de compositeurs suédois, mais aussi allemands ou italiens qui séjournaient alors à Stockholm. » – Radio Classique

« Avec son timbre dont séduisent infiniment les ombres autant que les éclats, avec son verbe aux inflexions uniques, la voix de Lucile Richardot marque d’une empreinte profonde les pages qu’elle défend. » – Diapason

« Ce florilège de musiques sacrées, toutes splendides, mettent en valeur l’alto noble et cuivré de Lucile Richardot, son aptitude à glisser de la douceur à l’éclat, et à restituer avec justesse le style et les variations climatiques et l’intention de chaque morceau. » – Télérama

« L’interprétation met en valeur la rhétorique musicale, les contrastes expressifs et la subtilité des timbres. (…) Un miracle d’éloquence. » – Opéra Magazine

« Northern Light, un disque à faire entendre à ceux qui douteraient du fait que les chants les plus tristes sont les chants les plus beaux. » – Le Soir

« Sébastien Daucé, chef d’orchestre réputé pour son érudition et sa musicalité profondément expressive, a abordé Psyché avec un mélange idéal de rigueur intellectuelle et d’audace interprétative. Sous sa direction, l’ensemble a fait ressortir les textures kaléidoscopiques de la partition de Locke, depuis les riches dissonances qui ont tant scandalisé ses contemporains jusqu’au lyrisme déchirant de ses arias. » – European News Agency

« Sébastien Daucé et l’ensemble Correspondances ont ensorcellé le public de la Laeiszhalle avec le semi-opéra Psyche. La représentation est aussi pétillante, captivante et ingénieuse que la musique. » – Hamburger Abendblatt
« Tout au long du déroulement des deux parties du concert, l’orchestre sans faiblesse séduit constamment en modelé, en luminescences comme en autorité. » – Résonances lyriques

« L’Ensemble Correspondances allie perfection du style, variété des couleurs, énergie et intelligence des transitions rythmique ; ainsi qu’une remarquable symbiose voix/orchestre. Sébastien Daucé cisèle avec un art consommé la partition de Charpentier, toujours généreux, toujours sensible. » – Forum Opera

« L’interprétation par Sébastien Daucé et l’ensemble Correspondances du Requiem de Campra, œuvre majeure du baroque français, met magnifiquement en valeur les mélodies et le sens de la direction de la musique. » – Gramophone

« Comment faire apprécier la musique baroque à des enfants de 8 ans ? Question épineuse tant la mission pourrait s’avérer… délicate. Pas pour Sébastien Daucé. En la matière, le chef d’orchestre de l’ensemble Correspondances – référence mondiale de la musique française du XVIIe siècle –, est passé maître. Et, visiblement, il prend dans cet exercice un plaisir infini. » – Ouest France

« La captation enchante par son homogénéité, son naturel et sa proximité avec les différents solistes – ceux du petit choeur inclus. Elle s’accorde au geste vif de Sébastien Daucé, toujours soucieux de donner du relief aux différents choeurs et récits. » – Classica

« Sébastien Daucé propose une autre voie, avec des effectifs allégés qui confèrent à l’écriture une remarquable transparence chorale. Le chef touche au point d’équilibre entre énergie et contemplation. » – Diapason

« Sébastien Daucé opte pour un style fin et aéré, dans un climat limpide, qui place au centre du jeu une expressivité retenue et, comme il convient, très respectueuse de la circonstance pour laquelle ce Requiem est destiné. » – Crescendo Magazine

« Éclat sacré à la Sainte-Chapelle : l’ensemble Correspondances y fait merveille, soulignant avec finesse consonances et dissonances, dans une véritable apothéose sonore. » – Forum Opera

« Sébastien Daucé fait revivre ici cette œuvre lumineuse et profonde avec une grande délicatesse et une sonorité chorale finement vibrante. » – Rondo Magazin

« L’ensemble Correspondances lauréat du Prix Liliane Bettencourt pour le chant choral. » – Diapason

« « Correspondances a su trouver un style » : l’ensemble de Sébastien Daucé reçoit le Prix Liliane Bettencourt pour le chant choral. » – Radio Classique

« Sébastien Daucé trouve toujours les mots justes pour évoquer la musique, celle de Marc-Antoine Charpentier en particulier. » – La Croix

« L’ensemble baroque Correspondances distingué par la Fondation Bettencourt » – Ouest France

« Le prix Bettencourt du chant choral dévoilé. Cette année, c’est à l’ensemble Correspondances, spécialisé dans la musique du Grand Siècle, que revient la prestigieuse récompense. » – Le Figaro

« Ceci explique peut-être le caractère presque intimiste de ce Requiem, souligné par l’interprétation de Correspondances : Sébastien Daucé dirige en évitant tout brillant, en tempérant chaque passage qui pourrait devenir grandiose. Il laisse du temps au temps, la musique respire, vient de l’intérieur ; l’équilibre chanteurs-instrumentistes est idéal ; les solistes cultivent la ligne mélodique avec délicatesse. » – Musikzen

« Sébastien Daucé à la tête de son ensemble Correspondances se plaît à creuser des contrastes et à révéler l’éloquent théâtre que dissimule cette musique d’église. » – Les Echos

« Sébastien Daucé et son ensemble poursuivent leur incursion dans le répertoire français né durant le règne de Louis XIV. Ils associent la Messe de Requiem d’André Campra à des œuvres de compositeurs actifs à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Une lecture parfaitement distinguée et équilibrée : la rigueur empêchait l’étalage de moyens, mais pas la beauté ni l’émotion. » – La Liberté

« Ce n’est pas la première fois que les chanteurs de Daucé combinent les avantages de solistes colorés de premier plan avec le mélange frais et vivant d’un chœur de chambre plein d’entrain. » – The Times

« Sous la direction experte de leur chef, le puzzle de voix chorales et solistes ne cesse de se recomposer. » – Télérama

« La connaissance intime qu’a Sébastien Daucé de ces œuvres, la précision de sa direction et l’intelligence de ses choix musicaux, l’engagement et la finesse de ses musiciens, la ferveur délicate de ses chanteurs ont permis au public très nombreux de goûter une soirée d’une grande richesse. » – Forum Opera

« L’émotion et la ferveur dominent sur ces trois pièces l’interprétation de L’Ensemble Correspondances, Orchestre et Chœur, que dirige Sébastien Daucé. La précision des attaques, la beauté sonore des instruments anciens, l’élégance même des phrasés donnent toute leur saveur à cette musique de Bach des origines. » – Olyrix

« C’est un splendide concert vocal qui nous est offert, mêlé de quelques pièces instrumentales, nous faisant voyager en ce dix septième siècle où les madrigaux profanes et les motets religieux prolongent la polyphonie renaissance en parallèle au déploiement de l’opéra » – Musicologie
« La musique de Charpentier impose sa vitalité d’une manière sensible et sa thématique convainc de sa vocation à l’universalité » – Esprit Presse

« De très belles voix solistes se détachent de l’ensemble choral Correspondances, les choristes en général participant grandement au succès de la soirée. » – Classykeo

« Les cordes agissent avec une souplesse fascinante dans les moments militaires, les bois avec une transparence lumineuse dans les scènes de David et Jonathas. » – nmz

« L’ensemble Correspondances restitue la partition avec une intensité dramatique exceptionnelle grâce à la direction avisée de son chef Sébastien Daucé. » – Classiquenews

« Sans conteste le meilleur ambassadeur de la musique de Charpentier du moment » – Le Figaro

« L’ensemble Correspondances a « bluffé » le public de l’ Opéra de Nancy où il se produisait pour la première fois, par son exceptionnel niveau de jeu et la variété de ses sonorités – du friselis de flûte sortie d’un rêve au moelleux chatoyant des tutti. » – La Croix

« Encore un spectacle majeur pour Sébastien Daucé et Correspondances, pour qui l’exigence et la générosité n’ont pas changé d’adresse. » – Opera Online

« Trois cents ans après sa création, l’œuvre n’a rien perdu de son actualité ni de son intensité dramatique. » – Famille Chrétienne

« Un spectacle beau et poétique […], parfaite introduction au monde baroque pour les néophytes et passionnante reconstitution dramatique pour tous les amoureux et bons connaisseurs de cet univers. » – Point de vue