« Pour reconstituer cette œuvre, Sébastien Daucé explique avoir puisé à la fois dans le répertoire de Locke et dans un recueil conservé à New York, »The Rare theatrical », compilation de danses de théâtre du XVIIème anglais. Et conformes aux idées véhiculées dans le livret de Shadwell. Il emprunte aussi à Lully, notamment au morceau intitulé »Plainte italienne », extrait de Psyché, dans sa version définitive de 1778. Qu’il place en guise d’intermède à la fin de l’acte II. Il n’est finalement fait état que de la partie musicale, sans les séquences de théâtre parlé. »