« Sébastien Daucé et son Ensemble Correspondances prêtent les talents qu’on leur connaît à cette inattendue mais perspicace reconstitution. […][La messe à quatre chœurs] est servie par une exécution d’anthologie […]. La pureté séraphique des voix aiguës rencontre la transparence des timbres masculins. La douceur des accents rejoint la précision du geste, l’intensité lyrique le dosage des contrastes. »