« L’amour sera anéanti par la guerre, Tancrède tuant Clorinde qu’il aime, sans la reconnaître. De cet acte fondateur, naît une douleur qui aura plusieurs voix et plusieurs visages, une douleur organique, viscérale, à laquelle la musique apporte profondeur, paradoxale douceur et grande intensité. »
« Un moment magnifique, d’une grande force et, visuellement, d’une beauté simple. […] Quant au travail de l’Ensemble Correspondances, il est juste épatant. »