« [Le continuo] quasi omniprésent prend le dessus sur les chanteurs qui peinent à se faire entendre en solo. […] La route semble longue et monotone jusqu’aux dernières pièces de ce concert. L’esprit versaillais émerge enfin avec l’interprétation assurée d’une danse suivie de l’une des compositions préférées du Roi, La grande pièce royale de Michel-Richard de Lalande. »