« On découvrira parmi les inédits de beaux airs d’Antoine Boesset, maître de la musique de la chambre du roi et de la reine. […] La « pâte » Correspondances, cette texture contrapuntique volontiers diaphane, fait merveille dans la musique sacrée. […] On adhérera ou pas à cette esthétique ultraléchée, très droite, plus spirituelle que charnelle. »