« Cent dix-sept scènes qui se succèdent dans une fluidité parfaite ; des dizaines et des dizaines de costumes ; des lumières ciselées ; des chanteurs, danseurs, acrobates et, dans la fosse d’orchestre, les instrumentistes de l’ensemble Correspondances sous la direction princière de Sébastien Daucé. » Emmanuelle Giuliani